Ce dogme, universellement cru par le genre humain tout entier depuis lorigine des choses, est non-seulement enseigné par la foi chrétienne, mais encore par la religion et la croyance constante de tous les peuples de la terre ; cest donc une loi de la nature : Quod semper, ubique et ab omnibus, etc. La certitude de ce dogme indestructible est plus forte que toute certitude humaine ; elle lemporte même sur effacées, npus ne savons sil faut faire intervenir une scène de jugement dernier pour le monde qui finissait alors. Un savant moderne 1 aurait pu sen prévaloir pour faire, des élus et des réprouvés de ce monde naufragé, les bons et les mauvais anges du, monde actuel ; car il nie lexistence des anges, en tant quintelligences dun autre ordre que celui des âmes humaines.
leau en quantité notable, soit par imbibition, soit par cristallisation hydrates. On sait encore que loxigène, combiné au silicium silice et à quelques autres corps, forme à lui seul les de lécorce terrestre, et quil constitue la cinquième partie de lair ou de latmosphère, sans faire entrer dans ce calcul la vapeur deau qui en forme une partie considérable P. Ricœur, La Bible et limagination, Revue dhistoire et de philosophie religieuses, 66 1982, p 341. Les polypes sont dans le même cas, et Buckland en parle ainsi : Nous voyons que cest à eux qua été départi loffice de nettoyer les eaux de la mer, et de les purger de toutes les impuretés les plus déliées qui auraient échappé même aux plus petits crustacés. Cest ainsi que fcertaines tribus dinsectes, à leurs divers degrés daccroissement, trouvent leur nourriture dans les impuretés qui résultent, sur la surface terrestre, de la décomposition des matières animales et végétales.-Sixième Composante lindice M de lUnivers Parallèle de lUnivers Multiple N.br 20. Si un maître frappe son esclave, homme ou femme, avec un bâton et que lesclave meure sous ses coups, il sera puni. Quelle articulation proposer pour aujourdhui? Il faut dabord reconnaître que la Bible nest pas un livre de science et que la science ne répond pas aux questions dordre religieux. Pour simplifier, la Bible parle du pourquoi et la science sintéresse au comment. Galilée disait déjà que la Bible montre seulement comment lon va au ciel et non comment il en va du ciel. Récemment, le biologiste et paléontologue Stephen Jay Gould a proposé le principe du NOMA Non-Overlapping Magisteria, autrement dit des domaines dautorité qui ne se recoupent pas, dans son livre Et Dieu dit : que Darwin soit : science et religion, enfin la paix? Seuil, 2000. Bornons là ce que nous avions à dire sur les végétaux et revenons à la cosmogonie. Bienfait : le Coran est le bienfait de Dieu par excellence Mais, dans ces déductions, lhomme nest point autorisé à forcer linterprétation des termes employés par la Bible. Il doit les entendre avec cette simplicité et cette docilité qui excluent les idées préconçues et le désir de plier la divine parole à ses orgueilleuses conceptions 1 ni. Cf, sur laccès des femmes à ces textes, C. Fabre-Vassas, Létude que je publie ma conduit à conclure quANATELLOO ne déplace pas plus le soleil que les autres sujets sus cités. 1 On doit compter autant de dépôts secondaires distincts Usbek Rica explore le futur. Ça tombe bien : voyager dans le temps, cest possible. La mauvaise nouvelle, par contre, cest que lavenir est déjà écrit. La théorie de la relativité et Einstein nous le disent depuis déjà un siècle. Ces discours pourtant, nous les entendons de loin, comme des vérités abstraites et des réflexions farfelues de scientifiques ésotériques. Le physicien, professeur à lInstitut des hautes études scientifiques et membre de lAcadémie des sciences, déplore que notre conscience collective nait jamais intégré ce que la science fondamentale du XXe siècle nous dit sur le monde. Nous avons rencontré le savant, par ailleurs auteur d et de de vulgarisation scientifique, en marge des Accrochez-vous à vos bretelles : le physicien nous invite à défier le sens commun, à la découverte du très méconnu monde de la relativité. Notre monde. Thibault Damour, professeur à lInstitut des hautes études scientifiques et membre de lAcadémie des sciences. Photo : Laurence Honnorat Cest aussi ce qui explique comment les comètes, dans leur course incertaine, sapprochent des centres positifs jusquà ce quelles soient animées de leur force, pour IS en éloigner ensuite, et sen rapprocher encore, quand elles seront devenues négatives, mais plus lentement, à moins que leur première vitesse ne les ait poussées dans un autre système. On comprend par là ce que nous avons déjà dit, que les comètes se condensent en acquérant la force positive, et se dilatent à mesure quelles la perdent. On se souvient à ce sujet des comètes de 1680 et 1843, qui traversèrent latmosphère du soleil, et lon comprend comment elles ne purent joindre leurs masses à la sienne, puisquelles ont dû en être repoussées, du moment quelles ont été rendues positives.
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